« L’histoire est faite la plupart du temps par les mécontents et les furieux, les excédés et les rebelles – par ceux qui aspirent à exercer l’autorité, à exploiter les autres, et par leurs victimes, intéressées quant à elles à obtenir réparation et à rétablir la justice. Dans ces conditions, l’histoire qui s’écrit a pour grand sujet la pathologie du pouvoir. » [Jérémy RIFKIN, Une nouvelle conscience pour un monde en crise – Vers une civilisation de l’empathie, p. 17.]
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